



#CARVENSEENBY Manon Prothon
En guise de Calendrier de l’Avent, Carven a donné carte blanche à 20 artistes afin qu’ils réinterprètent chacun une pièce phare de la collection croisière 2018. Pour revisiter le sac Twin, Serge Ruffieux a commissionné Manon Prothon, photographe à l’univers floral qui renouvelle la technique des photogrammes. Qui êtes-vous ? J’ai 25 ans, j’ai grandi à Paris. Ma culture et ma sensibilité, je les dois à mon père. Il m’a montré la beauté que pouvait être l’architecture par son métier, la beauté de la nature et la beauté des différences. Il m’a appris à décrypter le langage de l’art. Que symbolise pour vous cette période d'attente avant Noël ? La quasi-sureté de son dénouement, son réconfort qui arrive de l’enfance, cette sensation du retour, avec ses imperfections comme ses qualités. Quel serait votre rêve artistique ultime pour l'année 2018 ? Que cette année continue à nourrir et faire grandir ce qui a été conçu au 5 rue Portefoin à Paris : un lieu de réconciliation, d’échange entre l’art et les fleurs. Mon travail de photographe m’a fait découvrir les fleurs, ce qui m’a conduit à apprendre le métier de fleuriste afin d’acquérir des connaissances en botanique et dans l’art de travailler les fleurs en volume. Aujourd’hui j’essaie de lier les deux : l’art et les fleurs.
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En guise de Calendrier de l’Avent, Carven a donné carte blanche à 20 artistes afin qu’ils réinterprètent chacun une pièce phare de la collection croisière 2018. Pour revisiter le sac Twin, Serge Ruffieux a commissionné Manon Prothon, photographe à l’univers floral qui renouvelle la technique des photogrammes. Qui êtes-vous ? J’ai 25 ans, j’ai grandi à Paris. Ma culture et ma sensibilité, je les dois à mon père. Il m’a montré la beauté que pouvait être l’architecture par son métier, la beauté de la nature et la beauté des différences. Il m’a appris à décrypter le langage de l’art. Que symbolise pour vous cette période d'attente avant Noël ? La quasi-sureté de son dénouement, son réconfort qui arrive de l’enfance, cette sensation du retour, avec ses imperfections comme ses qualités. Quel serait votre rêve artistique ultime pour l'année 2018 ? Que cette année continue à nourrir et faire grandir ce qui a été conçu au 5 rue Portefoin à Paris : un lieu de réconciliation, d’échange entre l’art et les fleurs. Mon travail de photographe m’a fait découvrir les fleurs, ce qui m’a conduit à apprendre le métier de fleuriste afin d’acquérir des connaissances en botanique et dans l’art de travailler les fleurs en volume. Aujourd’hui j’essaie de lier les deux : l’art et les fleurs.



